EN BREF
|
Découvrez la 4ème édition de l’observatoire des greentech françaises réalisée par Bpifrance, qui met en lumière l’évolution et l’impact croissant de ce secteur dynamique. À l’occasion de la cinquième édition de « Jour E », cet événement rassemble plus de 1 000 entrepreneurs engagés dans la transition écologique et énergétique. Les données publiées révèlent une forte progression des startups greentech en France, témoignant de leur rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique et la promotion de solutions innovantes pour un avenir durable.
Les dynamiques des Greentech en France
En 2024, Bpifrance a publié la quatrième édition de son observatoire des Greentech françaises, un enjeu crucial qui met en lumière les initiatives innovantes au sein du secteur. À fin 2024, près de 2 900 startups Greentech ont été recensées, témoignant d’une vitalité remarquable dans le paysage entrepreneurial français. Parmi ces entreprises, 70% sont localisées en dehors de l’Île-de-France, ce qui souligne l’essor régional des technologies vertes. Les startups recensées se concentrent principalement dans des domaines tels que la mobilité propre, le verdissement de l’industrie et les nouvelles énergies, palliant ainsi des enjeux environnementaux majeurs.
Par exemple, des solutions innovantes telles que des matériaux biosourcés ou des dispositifs de recyclage émergent dans ce panorama. En outre, les investissements dans ce secteur représentent une part significative des levées de fonds en capital-risque, s’élevant à 2,2 milliards d’euros en 2024. Bien que le contexte économique pose des défis, les Greentech continuent d’attirer l’attention des investisseurs, en particulier dans le secteur de la mobilité décarbonée, qui concentre 43% des capitaux levés. Ce dynamisme est essentiel pour renforcer l’écosystème des Greentech et favoriser une transition écologique efficace.
4ème édition de l’observatoire des greentech françaises de Bpifrance
A l’occasion de la cinquième édition de « Jour E », un événement majeur qui rassemble à Lille plus de 1 000 entrepreneurs engagés dans la transition écologique et énergétique, Bpifrance a publié une nouvelle édition de son observatoire des startups Greentech françaises. Fin 2024, près de 2 900 startups ont été référencées, parmi lesquelles 161 ont levé 2,2 milliards d’euros en capital-risque, représentant environ 30 % des levées de fonds dans ce secteur en France. Paul-François Fournier, Directeur exécutif de Bpifrance, a souligné l’importance cruciale des Greentech dans l’amélioration de l’impact environnemental des entreprises et des consommateurs.
Les Greentech se divisent en plusieurs catégories, avec 70 % de ces startups situées en dehors de l’Île-de-France, et 57 % ayant une vocation industrielle, indiquant une large décentralisation et une possible opportunité pour le développement économique en régions. Ces entreprises abordent divers enjeux environnementaux, notamment à travers l’innovation dans les nouvelles énergies (20 %) et le verdissement de l’industrie (21 %). En outre, le secteur de la mobilité propre se démarque en attirant près de 43 % des investissements en 2024, renforçant ainsi son rôle stratégique face à la décarbonation.
Pourtant, malgré ces avancées, les Greentech doivent surmonter des défis considérables, notamment la recherche de modèles d’affaires durables et rentables. Avec une baisse de 20 % des investissements cette année, il est essentiel de favoriser la mobilisation des capitaux privés afin de renforcer cet écosystème encore jeune. En ce sens, il est crucial d’explorer des solutions pour intégrer les Greentech dans un cadre financier plus propice à leur croissance et leur pérennité.
Observatoire des Greentech Françaises 2024
Un État des Lieux Prometteur
A l’occasion de la cinquième édition de « Jour E », Bpifrance a dévoilé la 4ème édition de son observatoire dédié aux startups Greentech françaises. Ce rapport met en lumière la dynamique de près de 2 900 startups référencées, illustrant un véritable engouement en faveur de l’innovation au service de l’environnement. Parmi celles-ci, 161 entreprises ont levé 2,2 milliards d’euros en capital-risque, représentant ainsi une portion significative des investissements réalisés dans le secteur français.
Cette étude révélatrice témoigne non seulement de la vitalité de l’écosystème des Greentech, mais aussi des défis qui restent à relever afin de solidifier leurs modèles économiques. Paul-François Fournier, Directeur Exécutif de Bpifrance, a exprimé son engagement en faveur de cette dynamique innovante.
- 70% des startups ont leur siège en dehors de l’Île-de-France, promouvant une diversification géographique des solutions durables.
- 57% se concentrent sur des activités industrielles, développant des innovations promettant une amélioration notable de la productivité environnementale.
- 20% d’entre elles représentent des entreprises Deeptech avec des ruptures technologiques soutenues par la recherche.
- Les secteurs abordés incluent la protection des écosystèmes, les nouvelles énergies, et le verdissement de l’industrie.
Il est crucial de soutenir ces organismes jeunes tout en favorisant d’avantage d’investissements pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs en matière de transition écologique. Cette nécessité appelle à une prise de conscience collective autour de l’impact positif que ces entreprises peuvent engendrer dans l’économie verte.
Les Greentech françaises et leur rôle central dans la transition écologique
Dans le contexte actuel de la transition écologique, les Greentech françaises émergent comme des acteurs incontournables. Lors de la cinquième édition de « Jour E », Bpifrance a mis en lumière le dynamisme d’un écosystème en pleine mutation. Avec près de 2 900 startups référencées en 2024, dont 161 ayant levé un total de 2,2 milliards d’euros en capital-risque, il est évident que ce secteur joue un rôle clé dans le paysage de l’innovation durable en France.
Les Greentech englobent des entreprises qui proposent des solutions innovantes, répondant à au moins un des objectifs de la taxonomie européenne. Par ailleurs, environ 70% de ces startups sont basées en dehors de l’Île-de-France, indiquant un maillage territorial robuste. Cette répartition géographique témoigne de l’engagement des entrepreneurs à travers tout le pays pour la préservation de l’environnement.
Il est également crucial de souligner que les Greentech sont à l’origine de la création de 55 000 emplois et ont généré 5,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2024, signalant ainsi leur impact économique positif. En se concentrant sur des verticales comme la mobilité propre et le verdissement de l’industrie, ces entreprises démontrent leur capacité à transformer les défis environnementaux en opportunités économiques.
Malgré un contexte d’investissement plus difficile, les Greentech parviennent à attirer des fonds significatifs, représentant un tiers des levées de fonds de la French Tech. Le secteur de la mobilité décarbonée s’impose comme le champion des capitaux levés, renforçant l’idée que l’innovation verte est non seulement nécessaire mais aussi de plus en plus lucrative.
A l’occasion de la cinquième édition de « Jour E », Bpifrance a présenté sa 4ème édition de l’observatoire des startups Greentech françaises, mettant en lumière l’importance croissante de cette dynamique. En 2024, près de 2 900 startups greentech sont référencées, avec 161 ayant levé 2,2 milliards d’euros en capital-risque, représentant environ 30% des levées de fonds françaises. Cette initiative témoigne du rôle essentiel des Greentech dans la transition écologique et énergétique.
Le directeur exécutif de Bpifrance a souligné que, malgré un contexte incertain, le secteur continue de croître, soulignant l’importance d’adapter les modèles d’affaires pour garantir durabilité et rentabilité. En 2024, un nombre significatif d’emplois a été créé par ces entreprises, illustrant leur contribution à l’économie française.
Enfin, il est crucial de se poser la question de la mobilisation des capitaux privés et de l’innovation dans des domaines encore peu explorés, notamment dans l’adaptation au changement climatique. Ce paysage en évolution rapide appelle à une réflexion plus profonde sur comment soutenir et renforcer cet écosystème encore jeune.